Malgré une après midi annoncée comme assez mouvementée, météorologiquement parlant, les cieux nous ont inspirés et nous avons poussé nos pérégrinations pédestres jusqu’au pic de la Journalade. Et là… c’est le drame! non, pas tout à fait. Quelques flots de nuages bien épais débordent de la plaine toulousaine mais nous laissent en paix. Nous décidons donc de rentrer par la grande boucle, passant à la cabane de Goulur. Cabane qui n’est plus! Le reste de l’après-midi sera consacré à sillonner la vallée éponyme, côtoyant de très nombreuses granges, toutes plus ruinées les unes que les autres. Quant aux orages et aux aux trombes d’eau… rien! Par contre, la chaleur fut étouffante toute la journée.
La grange sur la dernière photo, si elle est en ruine, je veux bien m’occuper de la restaurer…
C’est un morceau choisi (parmi les ruines)!