Après s’être fait refouler à l’Hospitalet à 8h du mat parce que la DDE vient de se réveiller pour lancer 3 pétards dans les couloirs d’avalanches (le chasse neige n’était pas, lui non plus, passé… Trop tôt pour bosser)….
Montée au pic du Sarrasi, par un temps magnifique et un air… vif. (Comprenez très froid et pulsé à vive allure). Couteaux mis dès la première conversion, skis laissés sous le sommet, et descente en appréciant le travail des carres sur la neige béton.
Et le chien ? Disparu ? Ca m’inquiète.
C’était pas un terrain à chien. Plutôt à Ricard avec tous ces glaçons.