En compagnie d’Agnès.
En partant du Carol, une quarantaine de minutes de portage est nécessaire avant de pouvoir chausser les skis. Ensuite, c’est une neige lourde qui laisse progressivement place à une neige ayant subit le regel nocturne. Le repas est avalé au sommet de la Journalade, bonnet sur la tête. En effet, autant nous avons crevé de chaud dans la montée (pas un souffle d’aire et un soleil ardant), autant dès que le ciel s’est voilé ça s’est mis à cailler. Traversée acrobatique de l’arête où crampons et piolet n’étaient pas superflus. Encore un peu de portage jusqu’à l’Estibat avant d’entamer une descente très rapide sur une neige sorbet jusqu’à 400m de la voiture, à Liers. Et là, les premières gouttes de pluie nous sont tombées dessus. Bon timing!
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